Plus aucune énergie. Etrange. Comme si un excès d’écriture m’avait laissé exsangue. Un excès de travail sur ces manuscrits à rallonge, devrais-je dire. Car il y a un temps pour ne rien faire. Quand on le croit venu, l’esprit se dispose à l’accueillir. Si, faute d’avoir bien apprécié la situation, il ne vient pas, l’esprit réagit en vidant le corps de son énergie.