A considérer les gens que je côtoie lorsque je vais en France, mon sentiment est que le fruit de leur travail est volé. Contrairement aux Espagnols qui ont toujours été pauvres, ils ne se résignent pas et souffrent. Peut-être devraient-ils s’interroger sur le prix qu’ils paient pour la défense de valeurs républicaines qui servent avant tout à garantir le bon fonctionnement des leviers de ponction dont profite une caste.