Science-fiction

M’in­ter­ro­geant sue le genre du livre que je viens d’écrire, puisque la clas­si­fi­ca­tion par gen­res fait par­tie des prérog­a­tives des cri­tiques et de leur épigones, les jour­nal­istes lit­téraires, je me dis­ais: y ‑a-t-il encore une sens à par­ler aujour­d’hui de sci­ence-fic­tion? La fic­tion est une autre manière de racon­ter le réel, quant à la sci­ence, sous sa forme tech­nique, elle est présente dans cha­cun des actes de la vie quo­ti­di­enne et sous sa forme abstraite, elle définit notre hori­zon d’at­tente. Reste les batailles galac­tiques, mais il faut remar­quer que rares sont les gens qui peu­vent dire ce qui se passe en géopoli­tique du ciel et que, quoiqu’il en soit, ce sous-genre n’est que la com­bi­nai­son du west­ern et d’une tech­nique imaginaire.