Marches de la faim

“[] lorsque l’on perd son tra­vail on a pas souf­fert assez pour se rebeller; en revanche, lorsque l’on a souf­fert durable­ment, on a per­du la capac­ité de pro­test­er de manière organ­isée”.
“La crise de 1929”, Bernard Gazier.
Ce qui, d’après l’au­teur, expli­querait les échecs des “march­es de la faim” et l’ab­sence de révolte face aux actes de répres­sion des mou­ve­ments ouvriers.