La pratique de l’écriture (je ne parle pas de ces notes) devrait ressembler en tous points à la pratique de la vie: au milieu des possibles, on choisit celui-ci ou celui-là. Ce qui nous trompe, c’est l’idée du livre. Cette idée enferme. Puis viennent les genres qui condamnent la littérature de la même façon que l’Etat, après l’avoir rendue possible, condamne la liberté.