Le meilleur moment est celui où, dans l’après-midi, en pleine lumière, je ferme la porte, coupe le téléphone, éteint l’ordinateur et me couche. A l’époque des études, je me persuadais que ce moment dévolu à la divagation compensait le renoncement à travailler d’après les livres; aujourd’hui, je sais que l’imagination libre met directement en appétit de littérature et augure souvent d’heureux travaux.