Age

Pourquoi par­le-t-on l’âge venu de ce qui a été? Parce qu’une grande par­tie de nos aspi­ra­tions ont pris fig­ure. Et même si, but­tant sur l’ob­sta­cle, elles ont été con­trar­iées, cela n’y fait rien: elles ne sont plus en nous. Désor­mais instal­lés dans une épais­seur essen­tielle, nous explorons un monde intérieur. Celui-là même d’où venaient nos aspi­ra­tions. D’une cer­taine manière, un sol­de de l’ac­tion. D’où une nos­tal­gie: par l’écri­t­ure, la parole, le sou­venir, la con­fi­dence ou l’in­can­ta­tion, nous rap­pelons sur les scènes du présent le déploiement antérieur de notre consistance.