Dans la solitude nous découvrons qu’au bout de la pensée il n’y a que le corps. L’affolement lié à cette condition produit la conscience et le travail acharné sur la conscience ramène au corps. D’où la croyance. C’est-à-dire l’abandon du corps et de l’esprit à une force supérieure qui n’étant rien, par les puissances que nous y faisons circuler, devient tout.