Dieu

Dans la soli­tude nous décou­vrons qu’au bout de la pen­sée il n’y a que le corps. L’af­fole­ment lié à cette con­di­tion pro­duit la con­science et le tra­vail acharné sur la con­science ramène au corps. D’où la croy­ance. C’est-à-dire  l’a­ban­don du corps et de l’e­sprit à une force supérieure qui n’é­tant rien, par les puis­sances que nous y faisons cir­culer, devient tout.