M’ap­pa­rais­sait évi­dente, un instant, alors que j’é­coutais Olof­so en pleurs me dire ses déboires, cette idée: cha­cun est doté d’une force. Cette force à une quan­tité. Ceux qui ne la con­trô­lent pas, c’est-à-dire la nég­li­gent, la per­dent au prof­it d’autrui, lequel la retourne con­tre eux. Et la souf­france advient.