Article en pleine page dans le cahier culturel de La Liberté à l’occasion de la sortie de 45–12, retour à Aravaca. Positif, plus que cela, flatteur. Un côté rassurant à exister ainsi, au regard des autres. Et un côté sournois. Par exemple à se dire que dans l’ordre de l’exposition publique, le maximum est atteint et que ce maximum n’est pas bien élevé. Commencé seul, on continue seul. Cette chaleur de quelques instants qui souffle sur le côté ne fait rien à l’affaire. C’est dans la nature de la trajectoire d’aller à l’infini et aussi longtemps que le vivant le peut. La rencontre avec Dieu est nécessaire.