Inspec­tion du monde intérieur dont on croirait qu’il ne reste rien que la con­science de s’y être livré alors que les con­séquences sont nom­breuses et d’abord sur le monde réel, le monde com­mun, le l’autre dont part l’in­tro­spec­tion. La qual­ité du regard porté sur le monde com­mun change. De même change la capac­ité à dire de façon com­plexe ce qui paraît sim­ple, et peut-être, à force, de dépass­er le com­plexe pour aboutir au sim­ple, ce sim­ple-ci ne devant rien à ce sim­ple-là, l’un étant apparence, l’autre vérité. Mais encore, par l’in­tro­spec­tion, le renou­velle­ment des out­ils de l’ex­plo­ration et leur plus grande portée, de sorte que le monde intérieure présente sans cesse des attraits nou­veaux. Enfin, dans une approche mys­tique de la géo­gra­phie, la représen­ta­tion de ce monde intérieure comme pos­sé­dant les lim­ites que l’ef­fort d’ex­plo­ration, en le par­courant, fixe.