Faut-il viser la complétude ou accepter l’incomplétude? Ce rôle second que l’homme s’attribue dans la création par rapport Dieu, avec le statut nécessaire d’incomplétude qui l’accompagne, est à la fois la condition de la sagesse chez le croyant et fondement de la liberté chez l’incroyant. Mais le croyant pas plus que l’incroyant ne se pense en dehors du couple de concepts “complet-incomplet”.