En route pour le terrain. La voie par la vallée n’est toujours pas réparée. Hier le journal local annonçait la fin des travaux. Nous roulons soixante kilomètres supplémentaires, gravissons un col. Evola nous accueille entouré de ses chats. Nous tirons à l’arc, au pistolet, dînons d’une fondue française brassée dans un pot de grès. Il fait doux pour la saison, la rivière est basse, chevreuils et sangliers viennent boire. Je fais mon lit en partie basse du van, Aplo dort à l’étage. Il sort sur le court de tennis en milieu de nuit et photographie le ciel.