Repas

Mon­a­mi est ici. Il arrive de Genève. Il aime manger. Il mange deux fois par jour au restau­rant. J’es­saie de suiv­re. C’est dif­fi­cile. Il me sem­ble qu’à manger ain­si, surtout dans des restau­rants pau­vres qui nour­ris­sent plus qu’ils ne flat­tent, toute autre activ­ité est péjorée, d’au­tant plus la mienne, puisqu’il s’ag­it de courir et de courir longtemps, deux heures de suite, trois la semaine prochaine.