L’imbécile en chef du canton de Vaud, Jon Ferguson — comme l’indiquent ses noms et prénoms un Américain fort d’un américanisme qu’il ne pourrait faire valoir dans son pays — jubile: il est le premier (c’est lui qui parle) à ouvrir cette compétition entre écrivains qui livrent devant le peuple des notes sur le virus. En vingt-cinq ans, j’ai côtoyé deux fois cet énergumène joueur de basket. La première fois, invité par ma femme, il parlait de Nietzsche — avec le talent d’un idiot. La seconde, les hasards de la programmation au Livre sur les quais, le festival littéraire de Morges, m’ont obligé avant d’intervenir moi-même à écouter les salades qu’il déballait sur Dieu en s’appuyant, prétendait-il, sur sa lecture de la bible. Pauvre homme, que ne le fait-on taire!