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L’el­do­ra­do est ailleurs, il est ailleurs il est donc l’el­do­ra­do, ce qu’il cesse d’être une fois atteint puisque notre psy­cholo­gie, ou encore notre sim­ple présence forge le lieu, l’ap­pareille, ce que les scriptes, géni­aux com­pi­la­teurs des réc­its religieux du chris­tian­isme ont bien perçu en créant à l’i­den­tique de notre monde un monde sec­ondaire, lieu de développe­ment infi­ni du principe de l’eldorado.