Dieu ne sait rien, il est donc absolu. Du peu qui constitue sa réalité matérielle, l’animal sait tout. Sa survie est une compréhension. Il est donc relatif. L’homme n’est ni absolu ni relatif. Il crée Dieu, ou plutôt il nomme ainsi la limite supérieure. Et constate l’animal, dont il fait sa limite inférieure. C’est pourquoi il est progrès: possibilité d’une trajectoire entre un principe incompréhensible et un but changeant.