Aujourd’hui, le gouvernement ne protège pas le peuple, pas plus que le peuple ne protège le gouvernement. Chacun devrait (hommes de pouvoir ou quidam) composer avec son prochain et participer en esprit comme en actes à la protection et à l’intérêt communs. Pratique difficile, pour ne pas dire impossible, depuis que les représentants, cooptés par un nombre trop grand d’individus aux intérêts mêlés, trouvent les motifs de leurs actions ici et là, et de préférence auprès des meilleurs propagandistes.