Après? Comme avant. C’est à dire, à la veille du présent mortifère qu’a mis en place la mondialisation à partir des années 1990 (voire la saine réaction des opposants à Seattle, ils clament, frappent et brûlent) : moins de transports subventionnés d’esclaves industriels prélevés sur les stocks du tiers-monde en pourvoi de l’usine européenne, moins de monopoles anti-libéraux, moins de technocrates rémunérés sur le travail productif et, pour la dimension psychologique, moins de sexualité de renfort pour les minus habens, et d’animaux de compagnie, et de drogue sous assistance. Et aussi, halte au loisir véreux généré par l’économie de la connaissance!
(Clin d’oeil à Schumacher).