Pour ceux qui savent prier, le conseil est vain, le voyage est intérieur, plus ou moins soutenu, mais tout en trajectoires de sauvegarde; puis ceux-là savent se contenter de la société, quelle que soit sa bêtise et ses bêtes, car vue de haut, sous les auspices de la miséricorde, il y a infiniment d’espoir. Pour les autres, tous les autres, nous autres, la multitude, supérieurs véritables, en rupture de religion, il y a le miroir (salle de bains, ascenseur, halls, commerces..): tout viendra de là, rien ne peut venir sinon de là.