Le “bruit” des cybernéticiens. Une friture. Il est facile de s’en moquer. Chose ancienne, et j’insiste sur “ancienne”. Car ce schéma parasitaire est — évidemment (preuve inexorable du Progrès) — effacée par les nouveaux utilitaires technologiques. Sauf que la facilité de transmission, à l’échelle de la planète, avec émission constante, incessante, individualisée, produit un effet de saturation du sens bien plus importante que le “bruit”. Dorénavant, nous sommes la chose.