Rivière

Pas trou­vé de voie pour me ren­dre de Gal­luz­zo à Scan­dic­ci où je viens de pren­dre con­trat dans une palestre: le traf­fic est épais, les sin­u­osités mangées de végé­ta­tion, les murets à demi-éboulés, ceci dans un faubourg fréquen­té de Flo­rence. Quand on débouche, ce sont des car­refours, des ponts, des sens inter­dits. Faut-il con­fess­er que tout ce qui n’est pas sim­ple me sem­ble com­pliqué. Du moins pour ces choses inin­téres­santes que l’on devrait résoudre sans autre effort, par exem­ple se mou­voir. Mais voilà, après un essai à vélo et un essai en voiture, peu con­clu­ants, je viens de con­stater que l’on peut emprunter la riv­ière — reste à voir s’il y a des berges.