Le voisin banquier d’Agrabuey, septante quatre ans, à qui je demande sa tondeuse, me coupe le gazon puis m’emmène chez lui où il me montre l’ancienne centrale de téléphone du village, un paravent à lucarnes muni d’un guichet derrière lequel se tenait sa grand-mère. En 1961, il n’y avait que trois abonnés dans la vallée, les autres venaient ici pour passer les appels.