Les écologistes les plus radicaux ont raison de professer le terre comme religion, mais c’est encore, ce n’est hélas, venant de ce qu’ils sont — des rejetons de la modernité — qu’un vouloir-croire informant une idéologie agressive et sans grande portée rédemptrice, puisqu’au dix-huitième, lors du premier tournant industriel, le mal était fait: il coupait les racines de l’homme et, lui offrant le confort de la production technique des objets, le séparait de la nature, partant de da propre nature. Ce qui n’est pas récupérable. Et jamais ne sera récupéré.