Venezuela

A vingt-trois heures, au retour de l’entraînement, repas vénézuelien dans un restau­rant que les patrons ne gar­dent ouvert que pour nous. Sur une table en milieu de salle, nous ouvrons nos ordi­na­teurs. On nous sert sur la table voi­sine afin que nous n’ayons pas à les refer­mer. Ron­delles de banane frite, yuca, riz noir et plume de porc. Déli­cieux. Sur la nappe, des four­mis. Avant que le garçon apporte les plats, elles n’y sont pas ; après qu’il débar­rasse, elles n’y sont plus.