Plus d’une semaine que je cherche chaque nuit, raison probable de mes insomnies et moyen veux-je croire de me désennuyer dans l’attente du sommeil, le titre de rechange que je pourrai proposer à mon éditeur, celui-ci ayant émis des réserves quant au choix actuel et souligner dans le contrat, à côté de mon premier choix « titre provisoire ». Eh bien, moi qui me flatte de maîtriser la fabrique des titres, je sèche. A l’heure qu’il est, j’en ai envisagé plus de deux cents. Il faudrait relire le texte. En extraire quelques mots. Mais relire avant les dernières corrections n’est jamais une bonne idée. Superinconnu, voilà ce que j’ai trouvé de mieux. Cherchons encore.