Amadouant les bêtes par la bêtise, la presse quotidienne s’est bientôt mise au service du capitalisme automatique lequel s’en sert pour pousser son programme de réduction des personnes à l’unité économique, transposable, sacrificielle. Ce faisant, elle a perdu ses lecteurs. D’où son engagement contre la liberté de l’internet dont les militants cherchent à rétablir l’information et déclarent les employés de presse pour ce qu’il sont, des larbins. La séquence, n’en doutons pas, se reproduira avec les éditeurs. Et les samizdats électroniques envahiront le réseau, poursuivis par des logiciels de nettoyage.