Dans une critique de la NRF de 1987, Laurand Kovacs commente le livre d’Axionov Un petit sourire s’il vous plaît: “Il montre comment les valeurs qui fondent le pouvoir, et le pouvoir lui-même, sont confisqués au profit d’une caste de conservateurs et de rentiers de la Révolution. De leur côté, tant qu’ils restent sages, les artistes bénéficient d’avantages considérables: ils sont les alibis stipendiés de l’organisation qu’ils narguent en un défi permanent”.