Misère

Plus d’aléas et d’imag­i­na­tion! Des esprits flot­tants mais chercheurs, un car­naval véri­ta­ble de la race humaine. Les mains vul­gaires cherchent à ramen­er au sol pour appli­quer l’or­dre? Quand il n’y a que boue, il le faut. Quand il y a des con­sciences gavées de lumière — c’est aujour­d’hui — il ne faut pas. Ce décor dans lequel nous évolu­ons en morts-vivants per­suadés de faire des­tin, n’est que faux désor­dre, illu­sion vitale, morti­er. Un réel auquel ne par­ticipent pas ceux qui font souf­frir, ceux qui n’ont qu’am­bi­tion de pou­voir, est une misère.