Perros

Il y a vingt ans m’avait ent­hou­si­as­mé l’échange épis­to­laire entre Georges Per­ros et Brice Par­rain, pub­lié je crois par la NRF, au point de chercher son équiv­a­lent — fraîcheur de ton, dés­in­vol­ture, per­spi­cac­ité — dans l’oeu­vre des deux écrivains; or, hier je relis les Papiers col­lés de Per­ros et n’y trou­ve que des phras­es d’un buveur de comp­toir au souf­fle court.