La comparution en avril dernier, devant le sénat américain, sous prétexte d’usage illicite de données, de Mark Zuckerberg, ce précurseur de l’abolition des différences, m’a aussitôt parue suspecte. Depuis hier, nous savons que ce spectacle retransmis dans le monde entier avait pur but de faire passer pour de la moralisation la censure infligée via le réseau social à tout contenu qui ne soutient pas les politiques mondialistes d’invasion de l’Occident par les hordes du tiers-monde (que les promoteurs du supranationalisme, mépris supérieur, ont inscrit aux côtés de deux autres types de censure prétendument du même acabit, la pornographie et l’apologie du terrorisme.