Nos juges. N’ont jamais eu affaire à la mort. Comme les écrivains et l’ensemble des prescripteurs de l’universel. Si le but, effort de civilisation, la nôtre, blanche, est atteint et peut désormais entrer en phase de dépassement, le problème sont les laissés-de-côté, disons pour être exact, le fait que nous ayons calculé l’avenir sans tenir compte des ces pauvres hères : schéma freudien, tout ce que nous n’avons pas voulu voir détruit notre présent et dans ce présent-là, les laissés-de-côté ont raison, écrivains et juges ne feront jamais que des clowneries.