« Pourquoi si tôt ? », se plaint mon fils. Il est vrai qu’il dormait à poings fermés lorsque je l’ai habillé et l’ai muni de ses skis pour emprunter ce télésiège qui nous emporte à travers la nuit par-delà les montagnes. Je cherche une raison au sol et trouve au milieu de la piste, un homme qui marche et souffle un sac de pierres sur le dos.
-Tu vois, il ne faut jamais s’arrêter de gravir.