Librement

Aus­si je me réjouis­sais d’aller libre­ment sur des routes qui empor­tent autant qu’il faut, per­suadé que les paysages con­stru­its ne sont que de gross­es machines à com­bus­tion qui fab­riquent con­tre un lot d’il­lu­sions chaque jour plus dérisoire (l’ex­péri­ence aidant) une vie de répéti­tion et d’allégeance.