Liberté

Thier­ry Raboud fait l’éloge du Trip­tyque de la peur dans La lib­erté. Style impec­ca­ble et résumé effi­cace d’un livre qui se lit dif­fi­cile­ment et se résume mal. Comme d’habi­tude — quand bien même celle-ci est récente — je suis un écrivain fri­bour­geois. Lisant avec sat­is­fac­tion l’ar­ti­cle, je me demandais com­ment le jour­nal­iste s’y prendrait s’il lui incom­bait la tâche de chroni­quer, pour autant qu’il paraisse, le roman que je viens de ter­min­er ; j’y présente Fri­bourg sous son aspect le plus som­bre. N’en dire que du mal est je crois con­traire à la déon­tolo­gie. Resterait donc la pos­si­bil­ité de dire que je suis un écrivain genevois (quoique les représen­tant de cette Ville m’aient appris l’an dernier que je ne l’é­tais plus puisque j’avais déplacé mon domicile…)