Nocturnes

Cauchemars épou­vanta­bles. Comme si le monde ne suff­i­sait pas. Je passe ma nuit à maçon­ner des liaisons. Toutes sortes de per­son­nes mal con­nues occu­pent la place et me met­tent au cen­tre de leurs préoc­cu­pa­tions. Des indi­vidu croisés au Salon du livre à qui je sup­pute des rela­tions trou­bles. Con­sciem­ment, ils ne m’in­téressent pas. Je les évac­ue. Alors, ils revi­en­nent la nuit. Quand je dis cauchemar, c’est pire: je ne hurle pas, ne me réveille pas, ne peux m’échap­per — cela insiste dans des décors suin­tants d’émotion.