Toujours cette battue des vagues contre la rade. Là où des murets de soutènement ont été construits pour faciliter la passage de la route, l’eau éclate à la verticale et retombe en gerbes sur le capots des voitures. Devant l’appartement, les rouleaux ont transformé la plage. A force d’être drainé, le sable est lisse comme un miroir. Quelques promeneurs se hasardent. Les traces de pas sont visibles depuis le balcon. Les perroquets volent la tête en bas.