Soljenitsyne, de retour de son exil américain, aux prises avec le sacerdoce littéraire, levé chaque jour à l’aube pour travailler douze heures, en deux séances, à son grand œuvre, Le Premier Cercle. Rigueur qui m’apparaît aujourd’hui dans toute sa nécessité (plus que le devoir de réflexion que s’imposait aux mêmes heures de la nuit, près d’un siècle auparavant, le Paul Valéry des Cahiers, exercices de rigueur qui pourtant me fascinaient).