Ce matin, écrivant Noria, je m’amusais du dialogue des personnages. Tout à mon entrain, je forçais le trait. Ce qui m’amuse moins, c’est le sentiment que nul ne voudra publier un tel texte, de crainte de se mettre au ban de la pensée légale, laquelle, quoiqu’on en dise, est une obligation pour tout intellectuel qui veut conserver le droit d’émettre à destination du public sans être taxé de terroriste.