Inondations

Hec­tor sur les inon­da­tions de dimanche. “Je ren­trais de la dis­cothèque à sept heures le matin (il est garde). Sur la route des mon­tagnes, je suis passé de justesse. Les deux auto­mo­bilistes qui suiv­aient se sont embour­bés. Il m’a fal­lut qua­tre heures où je mets d’habi­tude vingt min­utes. Alors, dans le bas de la ville, je n’ose pas imag­in­er! Mais la bonne nou­velle, c’est que cela va don­ner du tra­vail aux maçons et aux pein­tres. On a besoin de travail!”