Comme je déjeune sur un banc du jardin des Bastions de Genève, j’assiste à cette scène. Un homme de quarante ans vêtu avec élégance, un livre sous le bras, s’agenouille devant le mur des Réformateurs. A moins qu’il s’agisse d’un dadaïste, nous ne sommes pas sortis d’auberge.