Eaux

Mag­nifiques jeux d’eau aux abor­ds du jardin anglais, entre les bâti­ments d’u­ni­ver­sité, le con­sulat cubique des Améri­cains et le musée des arts. Le Eis­bach­welle est con­nu parce que, hiv­er comme été, les sur­feurs prof­i­tent de sa vague mécanique pour gliss­er sur l’eau, mais de l’autre côté, vers le cen­tre-ville, jail­lit entre des jam­bages de pierre, à l’aplomb de la route chargée de traf­ic, dans un écrin de végé­ta­tion, l’eau puis­sante du Köglmühlbach qui tombe trois mètres plus bas for­mant, dans la vive lumière, une robe bouf­fante et argentée.