Bonté des gens simples. Affrontés à de vraies difficultés, ils trouvent leur consolation dans l’attachement au réel. Or, c’est ce réel que le mouvement diabolique des affaires liquéfie et assèche. Faute d’être réfléchie, leur révolte vient trop tard. Ils ne poussent les cris que l’on espérait que lorsque le pain leur est retiré de la bouche. Ce qui augure mal de l’avenir, car ce n’est pas le pain qui va manquer, mais l’appétit.