Noël



De Noël, j’aime la sym­bol­ique et la fête, l’esprit de famille, l’intimité voulue, entretenue. Je n’écris pas cela pour man­i­fester une sorte de nos­tal­gie entouré que je suis de stu­pas, de mag­a­sins chi­nois et du sapin de guir­lan­des d’un hôtel. Ici, comme ailleurs, la veil­lée témoigne d’une inten­tion de bon­heur qui est au cœur des préoc­cu­pa­tions des hommes. Ain­si, je m’étonne des pro­pos dés­abusés, quand ce n’est hos­tiles, que profèrent con­tre l’esprit de Noël bien des gens de mon entourage, et plus volon­tiers les jeunes que les aînés. Pour ma part, j’ai tou­jours atten­du avec impa­tience le moment des pré­parat­ifs, la déco­ra­tion du sapin, puis le repas, les cadeaux. Enfant bien sûr, mais aujourd’hui encore.