Homme



Fon­da­men­tal­iste. Tous comptes faits, le terme me con­vient. Je crois dans l’homme. Son avenir est inscrit dans ses pos­si­bil­ités. Il n’est que de les met­tre en lumière. Mais il y a la société. Com­ment croire dans les hommes ? Dans la société qu’ils organ­isent et con­sen­tent à subir ? En son sein, l’homme est mis à mal. Il se défait, s’étiole, n’est plus que l’ombre de lui-même. Tel est le para­doxe : agir pour la vie, pour l’homme, c’est agir à la fois con­tre la mort et con­tre les hommes.