Les chauffeurs de taxi toussent et crachent. Les plus atteints, avalent des sirops et des pilules, se frappent la poitrine, maugréent. Aucun ne songe à couper l’air conditionné. Il fait trente degrés dans la ville, dix de moins dans l’habitacle. Mais Jeffrey est le plus original. Pris d’une toux violent, il jure: il ne pourra pas jouer au badminton ce soir.