Combat contre le professeur. Ceinture noire, troisième dan. Il se retient de frapper trop fort, se met en défense. Je frappe, je touche. Au nez, au menton, aux parties, au genou. Forcé de réagir, il attaque, balance un coup de pied circulaire sur le nerf de la cuisse et aussitôt un second coup de pied au même endroit — sou l’effet de la douleur, je perds l’équilibre. A la fin du combat, il explique:
- En général, j’en met un troisième de la pointe du pied, cela fait tomber l’adversaire. Bien sûr, dans la rue, mieux vaut casser les deux jambes par balayage.
Quatre jours plus tard, je n’ai toujours pas repris l’entraînement de course.