Terracol

Gala, hier, au télé­phone et à l’écran, dit:
- Non… finale­ment, non. Il va faire trop chaud en Andalousie… Et puis, c’est comme ça… J’ai promis à mon fils… Pour mon anniver­saire… D’ailleurs, c’est de ta faute. Il suf­fit que tu te relis­es… relis ton mail du… Attends, je l’ai là…
Et un autre bil­let d’avion per­du.
Évidem­ment, là n’est pas le prob­lème.
Plus tard, Tatlin en ligne:
“Je me demande ce que je vais pou­voir faire de ma vie lorsque je vais ren­tr­er en Alle­magne.“
A quoi je réponds:
“Je me posais la même ques­tion: que faire?“
Puis je l’aver­tis que j’ai reçu la veille un cour­ri­er de l’E­tat (elle est domi­cil­iée chez moi):
“Tu veux que je te l’en­voie?”
“Oh non, j’ai telle­ment peur de ces cour­ri­ers, envoie directe­ment à mon avo­cat!”.
“Tu ne veux pas venir en Andalousie la semaine prochaine?”
” Je suis à Ams­ter­dam. Je me suis remis à la *****”
“Moi, j’ai un stage com­man­do”.
“Guerre et poésie! Fan­tas­tique!“
La con­ver­sa­tion finie, comme je descends relever la boîte à let­tres, je trou­ve un envoi de Chris­t­ian Désag­uli­er. Un col­is. Deux exem­plaires de la revue Toute la lire. Page 39, la pub­li­ca­tion in exten­so de mon livre écrit à La Char­treuse de Vil­leneuve-les Avi­gnon en 2002, Cas­sa­tions.