Torts

Dans une mes­sage bref mais ent­hou­si­aste, je fais l’éloge du tra­vail réal­isé par cet ami. Dans l’heure, j’ai sa réponse: il me remer­cie. Y revenant quelques jours plus tard, je donne le détail de mes impres­sions. Pareille­ment élo­gieuses mais mêlées cette-fois de cri­tiques. Plus de réponse. J’at­tends. Rien. Or, hier Mon­frère me dit, à pro­pos d’une autre affaire qui tous les deux nous con­cerne: les gens ne sup­por­t­ent plus la cri­tique. Ce qui m’amène a recon­sid­ér­er le silence que j’évo­quais et qui me laisse pan­tois. Celui qui ne peut faire face à la cri­tique serait-il celui qui craint d’avoir tort en tout?