Corrections

Fini la relec­ture de Forde­troit. Un tra­vail à deux: Gérard Berré­by, le directeur d’Al­lia, est à Paris, une copie du man­u­scrit à la main: il ques­tionne, annote, souligne, sug­gère. Je suis devant ma table de tra­vail, à Fri­bourg j’ac­cepte ou refuse les mod­i­fi­ca­tions. De fait, la plu­part sont per­ti­nentes et améliorent aus­sitôt le texte. Tra­vail moins fas­ti­dieux que pour easy­Jet, comme si nous avions appris à nous con­naître. En revanche,  ma maîtrise de la con­cor­dance des temps est qu’aléa­toire. Dans la mesure où, par­al­lèle­ment, je fais ce même tra­vail de cor­recteur pour un jeune fille qui écrit son pre­mier roman, je ver­rai si, occu­pant la posi­tion du cri­tique, et donc dégagé du tra­vail de créa­tion, mes con­nais­sances sont plus sûres.